Actualités des membres

<strong>Le 12 mars> – Intervention de Jean-Michel Peter au colloque “Un corps sans limite…vers quelle performance?”

Jean-Michel Peter est invité à Bordeaux le 12 mars prochain pour introduire le 9ème colloque du CREPS de Bordeaux-Aquitaine portant sur "Un corps sans limite...vers quelle performance?". Explorer cette forme de transhumance qu’opère le corps, à travers le temps qui passe et notamment en ce début du XXIème, est le défi que se proposent de lancer les différents intervenants invités par le CREPS de Bordeaux-Aquitaine.
DOSSIER PRESENTATION COLLOQUE v3

jean-michel.peter@parisdescartes.fr
<strong>Le 22 février> – 2ème séance du Séminaire “Corps et beauté” coorganisé par Marion Braizaz

2ème séance du séminaire "Corps et beauté" coorganisé par Marion Braizaz le jeudi 22 février 2018 à l'Université de Genève : "Les pratiques esthétiques au prisme de l'âge" - 12H30/14h30 Nos invitées : Virginie Vinel, Professeure de sociologie à l’Université de Franche-Comté (France). Jacqueline Ricciardi, Comédienne – Performer (théâtre, télévision, cinéma) depuis une trentaine d’années. (SALLE M 1140 - UniMail)

https://corpsbeaute.hypotheses.org/
marionbraizaz@gmail.com
<strong>Le 17 février> – Interview de François de Singly sur France Info

France Info, le 17/02/2018,  Johnny Hallyday : pourquoi les familles se déchirent (souvent) lors des héritages. Au-delà de l'aspect économique, pourquoi la répartition de l'héritage est-elle régulièrement une expérience douloureuse ? France Info a interrogé François de Singly, sociologue spécialiste de la famille. Propos recueillis par Elise Lambert.
FdS France Info JH

https://www.francetvinfo.fr/culture/johnny-hallyday/johnny-hallyday-pourquoi-les-familles-se-dechirent-souvent-lors-des-heritages_2613958.html#xtor=AL-79-%5Barticle%5D-%5Bconnexe%5D
desinglyf@gmail.com
<strong>Le 16 février> – Grand entretien avec Margaret Maruani dans Le 1

GRAND ENTRETIEN avec Margaret Maruani  dans Le 1 l'Hebdo qui traite des inégalités salariales en parties dues à « l’idée que derrière chaque femme, il y a toujours un homme - un père, un mari, un frère - qui est là pour subvenir à ses besoins. ». Balayant quelques idées reçues, la sociologue traverse un siècle de travail féminin. Principales victimes du temps partiel subi, leur salaire reste d’ailleurs souvent vu comme un revenu d’appoint par rapport à celui de leur compagnon.

https://buff.ly/2EDx0KV%20
margaret.maruani@parisdescartes.fr