Relations internationales

Des actions au rayonnement national et international

Le laboratoire est directement associé à des nouveaux dispositifs issus de la politique nationale concernant les institutions universitaires et scientifiques. Le CERLIS est porteur d’un projet ANR débuté en 2014 “Le “populaire” aujourd’hui. Les recompositions sociales et culturelles des mondes ouvriers et employés contemporains”.
Il est membre du Labex ICCA « Industries culturelles et création artistique. Numérique et Internet » inscrit dans le cadre du PRES Sorbonne Paris Cité, et porté par un consortium composé des établissements Sorbonne Nouvelle, Paris Descartes, Paris 13 et l’École Nationale Supérieure des Arts décoratifs. Il est également membre de l’équipex DIME‐SHS « Données, Infrastructures, Méthodes d’Enquêtes pour les SHS » qui a pour ambition de doter la France d’une structure intermédiaire novatrice en matière de collecte, d’enrichissement et de diffusion de données quantitatives, qualitatives et Web en SHS.
En outre, il est porteur de deux actions au rayonnement international : le réseau MAGE (collaboration avec 12 pays), le réseau OPuS (OEuvres, Publics et Société ‐ Groupe de recherche international ; renouvelé pour la période 2012‐2015 et associant des universités du Canada, du Brésil et des Etats‐Unis).

Les relations internationales des enseignants-chercheurs et chercheurs du CERLIS sont très nombreuses:

  • Plus d’une centaine de conférences ou de communications hors de la France : une forte majorité en Europe, une vingtaine en Amérique latine, une dizaine dans les pays du Maghreb et également en Asie.
  • 21 ouvrages traduits dans des langues très variées: anglais, espagnol, italien, allemand, mais aussi turc, roumain, polonais, czech, grecque...
  • Plus de quatre vingt articles dans des revues à comité de lecture ou dans des chapitres d’ouvrages collectifs, internationaux.

Ces relations obéissent grâce à un programme coordonné de recherches, elles dépendent surtout des relations avec l’enseignement supérieur, notamment à travers Erasmus ou des procédures analogues. Dans plusieurs cas, les terrains de recherche se situent à l’étranger, en Europe du Nord ou du Sud, en Tunisie, et au Chili, au Brésil, au Mexique, en Bolivie. Les réseaux internationaux – notamment l’AISLF – sont également mobilisés pour nouer des liens.